La responsabilité de la branche des sociétés commerciales, leur relation avec la société mère et les limites de la responsabilité des dirigeants sont analysées en verifiant la décision rendue par la branche 20 du Tribunal général de Téhéran.
Selon le rapport de relations publiques et d’information de l’Institut de recherche judiciaire, dans cette décision, le juge, utilisant des théories modernes, a abandonné les distinctions traditionnelles et, compte tenu des faits et des coutumes commerciales, a jugé que les deux sont solidairement responsables, sans distinction entre l’entreprise et la succursale.
Selon la règle d’Alter ego, qui est suivie par l’arrêt rendu par la 20e chambre du Tribunal général de Téhéran, il est possible de prévenir les abus et les fraudes par rapport à la loi, et en raison des conditions régissant la question du hijab , la personnalité juridique qui existe tantôt entre la société mère et ses succursales, tantôt entre la société et les actionnaires, est détruite. En d’autres termes, malgré le fait que la société ait une personnalité juridique indépendante, la personnalité de la succursale de la société est supposée être la même que celle de la société mère ou de la société avec les associés, et la responsabilité est étendue.
Dans la suite des sessions de révision des jugements de l’Unité judiciaire de l’Institut de recherche judiciaire, le jugement du Dr Hani Hajian, le juge qui a rendu le jugement, le 24 mai 1402 à l’Université des sciences judiciaires, est révisé.
Cette réunion, qui se tient en coopération avec l’Institut de recherche judiciaire, la Direction générale de la formation de l’adjoint aux ressources humaines de la magistrature et le noyau d’analyse et d’études critiques de la jurisprudence de l’Association scientifique de l’Université des sciences judiciaires, accueillera les parties intéressées. à ۱۶h00